|
|
 |
 |
 |
Un jour d’orage sec, il y des milliers d’années, un homme transi de froid, mâchonnant sans enthousiasme un morceau de viande crue, à l’abri très inconfortable d’une grotte humide, a vu, terrorisé, tomber la foudre et s’embraser la forêt. Après la peur, comme aujourd’hui d’ailleurs, est venue la réflexion. Les dieux qui gouvernent les éléments sont terribles, mais ils aiment à laisser quelques cadeaux après leur colère. Le feu venait d’être domestiqué. Mais comme l’homme est un animal étrange, il aime à se croire libre, mais il ne coupe jamais ce lien qui fait de lui le jouet de forces qu’il souhaite mais dont il a peur. Donc voilà notre « homo sapiens » qui se sédentarise autour de son feu, découvre les bienfaits des plantes médicinales et de l’art culinaire et dans le même temps, brûle ses guérisseuses qui en font trop, puis invente les livres pour les brûler ensuite dès qu’ils semblent véhiculer autre chose que le dogme officiel. Son rapport au feu est totalement schizophrène. Il vénère ses pouvoirs, il ne peut s’en passer, mais lorsqu’il invente l’enfer, il le voit sous la forme d’un feu diabolique et perpétuel.
Dante y a fait souffrir et griller une multitude, les jésuites s’en sont servis pour éduquer dans la terreur et régulièrement des hommes pourtant sans histoire, deviennent de dangereux pyromanes qui ne peuvent vivre sans déclencher ces flammes hypnotiques et dévastatrices. La solution était de trouver le moyen de donner à chacun son feu personnel, de démystifier en normalisant. Dommage que l’époque de l’inquisition n’ai pas connu le pouvoir d’une cheminée à l’éthanol , les flammes de l’enfer auraient peut-être perdues leur aura diabolique !
Ce qui peut ressembler à une plaisanterie n’en est pas. Aujourd’hui, même si nous courrons non plus après une bête sauvage pour se nourrir mais plutôt après le hamburger qui se laisse attraper assez facilement, même si nos logis sont nettement plus confortables que la caverne ou la chaumière de torchis, nous avons toujours besoin de nous réchauffer le cœur et de nous laisser envahir par la magie des flammes.
La solution pour tout à chacun, une cheminée à l’éthanol chez la marque Bio Factory http://www.biofactory.fr. C’est adaptable à tous les habitats, de l’igloo au tipi en passant pas l’isba, sans négliger l’appartement cubiques et formatés. Une douceur maitrisée dans un monde de brute où la guerre est « chirurgicale » ou économique, où l’individu trouve de moins en moins sa place. Alors, le simple fait d’avoir ; comme notre lointain ancêtre, un petit feu de poche, c’est rassurant.
Après une journée éreintante, même si les enfants hurlent et s’agitent, on s’abstrait plus facilement devant une cheminée à l’éthanol '' Découvrez quelques exemples ici http://www.deco.fr/shopping-deco/cheminee-a-l-ethanol/ , l’esprit vide, le cœur léger. Et justement parlons-en des enfants, dont on aimerait pouvoir obtenir un rien de compassion, sous forme d’un silence même de courte durée. Chez mamie et papi, c’est possible, d’abord on les jette dehors, c’est la campagne, ensuite ils rentrent fatigués, un peu, et on les assoit devant un bon feu avec des chips, ça marche. Ils finissent par s’endormir.
Le bonheur ! Mais dans la cité, cette univers âpre, sans espace, où la seule façon de calmer les gosses c’est la promesse d’une visite chez le roi du hamburger, la dernière tablette sortie, le jeu interactif qui « déchire », bref, sortir son portefeuille ou finir hystérique. C’était ça la vie de parents avant ces petites cheminées qui, couplées avec la télévision deviennent de véritables alliées, une potion magique, un remède contre la folie parentale. Un enfant c’est juste un adulte en plus petit, donc il a les mêmes petites fêlures, il commence par arracher les ailes des papillons, puis il met le feu au canapé du salon pour voir comme c’est joli et ne comprend pas pourquoi il est puni. Autant lui permettre d’allumer la cheminée à l’éthanol, c’est sans risque mais il y a encore mieux, se cacher dans un coin et lui laisser croire qu’il fait c’est une grosse bêtise en allumant tout seul. Aucun cri, aucune punition, ce n’est pas drôle, donc il va oublier le feu et passer à autre chose. La psychologie appliquée, pour sa propre survie, est indispensable, un enfant c’est diabolique !
|
| Today, there have been 1 visitors (1 hits) on this page! |
|
 |
|
|
|
|
